C’est parti pour parcourir à toute vitesse des courses
effrénées qui ne semble vouloir que vous tester à l’épreuve de la vitesse et de
la mort. Et c’est la Team HotWheels qui s’en occupe, en proposant trois jeux de
courses en un, ou plutôt un jeu de
course en trois. Le principe est simple, chaque CD-Rom contient un jeu, mais en
quelques sortes, les 3 CDs forment un seul et même jeu. Faites chauffer les
moteurs, c’est parti. Au programme, des cascades en motos, du rallye, et de la
vitesse hallucinante en voiture.
Avec sa réalisation impressionnante, pour une machine datant
de 1997, c’est un véritable régal pour les yeux que de jouer à ce que l’on nous
propose. Les bugs de collision, sont heureusement fort présents pour nous
offrir une expérience de jeu inoubliable. Ainsi, c’est au travers d’un tuyau ou
d’une piste HotWheels en plastique géante que vous exécuterez vos acrobaties
aériennes motorisées, et rarement après avoir sauté de la plate-forme, du pure
bonheur en barre. La sensation de vitesse n’a pas été oubliée, et c’est aussi
rapide que le vent un jour de gentille petite brise d’été tout juste rafraîchissante
que votre véhicule avance. Les accélérations sont quant à elles tout bonnement
impressionnantes, pour peu que l’on s’en aperçoive.
La maniabilité de votre engin a grandement été traitée, pour
une jouabilité proche de l’excellence. Une touche pour accélérer, et les
flèches pour mouvoir votre véhicule. Simple, mais terriblement efficace, surtout lorsque vous ne vous rendez
même pas compte d’où vous allez. Par chance, les développeurs ont pensé à tout.
Dès que vous déviez du tracé de la route, hop, une sorte de mur invisible se
dresse contre vous. Impossible de se perdre donc, vous êtes obligés de suivre
le chemin prévu par la course. Inutile de chercher des raccourcis cachés, il
n’y en a pas, et même s’ils existaient vous ne pourriez pas y accéder. Pour ce
qui est de la moto et de ses cascades extraordinaires, pas la peine d’appuyer
sur une touche pour accélérer, on avance seul, en revanche, il existe trois
touches pour mettre en place ses périlleuses acrobaties. Attention, trois
cascades disponibles pour être effectuées, c’est rarement vu, surtout qu’elles
ne se déclenchent pas toujours lorsqu’on le souhaite. Tout simplement du grand
art en la matière.
Heureusement, toute cette belle machinerie technique et de
gameplay est profitable durant le temps de tout une course. Une par CDs, donc
trois au totale, même si les changements ne sont pas flagrants, tant mieux, on
ne perd pas ainsi ses repères acquis dès le premier tour. On a aussi la
possibilité de créer et de jouer avec son propre personnage. Je m’explique, on
peut changer la couleur de son véhicule, de son casque, et de sa tenue. On n’avait
pas fait mieux depuis les Sims 3. Et si l’on regarde bien, on constate qu’un
cadenas est présent lors de ces phases de création. Il semblerait qu’il y ait
une couleur cachée à débloquer. J’utilise le conditionnel parce que je n’ai
fini aucun des trois jeux. Non pas qu’ils soient tellement ennuyeux que j’ai
arrêté d’y jouer, mais le nombre de points demandé pour débloquer la couleur
mystère est tellement élevé, et l’obtention des points tellement longue, que je
n’y suis toujours pas venu à bout. C’est pour dire qu’il faut s’accrocher pour
voir le fin du jeu, ils ne plaisantent pas chez HotWheels. Et encore, je ne
possède que deux des trois CDs, vivement que j’acquiers le dernier.
Ces jeux, que vous devez absolument vous procurer, se trouve
facilement, mais dans une durée limitée, et par chance, ils ne sont pas chers.
En effet, vous pouvez trouver ces CDs dans les paquets de Chocapic, et choisir
celui que vous voulez avec le paquet, pour éviter d’avoir quatre fois le même
(ce serait ballot quand même). Alors n’hésitez pas, profitez tant qu’il est
encore temps, et jouez à ce jeu en trois qui fait passer Need For Speed :
The Run pour un chef-d’œuvre absolu du genre de la course. Si parmi les slogans
les plus connus du jeu vidéo on n’oubliera jamais le fameux « Sega, c’est
plus fort que toi », il faudra désormais aussi compter sur « Chocapic,
c’est fort en chocolat!».
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